mercredi 2 septembre 2009

Rentrée

Nous voilà déjà en septembre. Aujourd'hui, demain, jusqu'à la fin du mois, des milliers/millions d'enfants, de jeunes feront leur rentrée, de l'école maternelle jusqu'aux plus grandes écoles.

Pour la première fois, je ne ferai pas partie de ceux là. Pour la première fois, je n'aurai pas cette nuit d'excitation mêlée d'appréhension face à la nouvelle année qui se présente. Je ne découvrirai pas de nouveaux professeurs, de nouvelles matières ou de nouveaux camarades. Après 20 rentrées successives, après des années passées sur les bancs de l'école, voilà qu'aujourd'hui, je passe de l'autre côté.

C'est étrange de se dire que plus jamais je ne vivrai ça. Je ne sais pas finalement si je dois en être soulagée ou nostalgique. Si je dois regretter de ne pas faire encore partie de tous ces jeunes. Bien sûr, je m'éclate dans mon boulot actuel. Bien sûr, j'ai des projets pour la suite des événements, projets qui m'emplissent d'impatience face aux mois d'attente qu'il me reste encore. Pour autant, j'ai toujours autant de mal à dire que je ne suis plus étudiante. Mais ça viendra. Quand j'aurais terminé ce contrat et passé ma soutenance. La dernière.

mercredi 19 août 2009

Jésus et la drogue !...

Juste pour le fun...



Comme quoi, les campagnes préventives ne sont pas forcément barbantes.

lundi 10 août 2009

Renoncer...

Petit texte trouvé au gré de mes errances sur la toile. Inutile d'en dire plus, il suffit de lire.

"Choisir d'être une personne, et non toutes celles qu'il serait possible d'être.
20 ans, l'âge de tous les possibles est aussi l'âge de toutes les grandes morts. Renoncer, c'est mourir, nous le savons tous. Si nous choisissons tel homme ou telle femme pour l'aimer toute notre vie, nous mourons à tous les autres, qui pourtant étaient des gens potentiellement aimables, désirables. Si nous choisissons de devenir professeur, nous ne serons pas médecin… nous cherchons alors une solution pour combiner les deux, une situation qui nous permettrait de tout garder encore possible, sans renoncer, sans mourir. Il n'est facile à personne de mourir ; il semblerait, pourtant, qu'aucune vie ne soit possible sans mort préalable.

Tant de possibles… comment ne pas s'y noyer, comment choisir ? Comment les rendre réels lorsque la tentation de les garder en simples possibles est si grande ?

Tant que l'on n'a pas choisi, on a l'impression d'être tout ce qu'on n'a pas choisi, tous les possibles à la fois. Mais ce que je suis de façon abstraite, le suis-je vraiment ? La peur de se réduire, de se déterminer est la même pour tous. Mais n'oublions pas que si en prenant une route nous évinçons toutes les autres, ne pas en prendre du tout ne mène nulle part, même pas à soi."

dimanche 2 août 2009

Douleur

Certaines décisions sont cruelles à prendre. Ces choix que l'on ne peut pas ignorer, mais qui ont pourtant des conséquences terribles.

Blesser ceux que l'on aime, ceux qui comptent pour nous, est une épreuve bien trop terrible. Affronter les doutes, les "et si j'avais eu tort"... Les jours à venir seront loin d'être faciles pour moi, mais ce n'est rien comparé à ce qu'il doit vivre, lui. J'aimerais pouvoir l'empêcher de souffrir, pouvoir effacer ces dernières heures de sa mémoire, l'aider à passer à autre chose, à aller de l'avant. Et je sais que quoi que je fasse, ça ne changera rien.

C'est dur de quitter quelqu'un à qui l'on tient toujours, pour qui on pourrait encore tout donner. Dur d'être loin alors qu'on voudrait l'aider à surmonter cette épreuve...

Il me manquera. Terriblement. Mais la vie continue. Avec le temps...

samedi 4 juillet 2009

Bohemian Rhapsody

Je ne suis pas fan de Queen. Je dois connaître en tout et pour tout quelque chose comme une vingtaine de chansons du groupe, qui sont, bien évidemment, les tubes entendus et réentendus sur toutes les radios.

Malgré cette "non-fan attitude", il y a une chanson qui me fout vraiment des frissons chaque fois que je l'écoute, c'est celle-ci, Bohemian Rhapsody.

Pour le plaisir des oreilles, le clip ci-dessous.

Pour l'entretien des neurones, un article très détaillé sur l'histoire, l'enregistrement, et ce qui fait de cette chanson bien plus qu'une ligne supplémentaire dans la discographie de Queen. Très instructif. C'est ici.