Qui sait, peut être qu'en l'écoutant vraiment, j'arriverai à m'enlever cet air de la tête...
samedi 28 mars 2009
Padam, padam, padam...
Qui sait, peut être qu'en l'écoutant vraiment, j'arriverai à m'enlever cet air de la tête...
Zen

jeudi 26 mars 2009
Danse, encore...
mardi 17 mars 2009
Rêve
jeudi 12 mars 2009
Coup de sang
mercredi 11 mars 2009
JMMPP
mardi 10 mars 2009
Musique...

Et puis il y a quelques jours, j'ai décidé de lever cette protection. Pour quelques heures., au moins. Retrouver le toucher tellement gravé dans ma mémoire des notes, la position des mains, la sonorité vieillie et pourtant toujours aussi belle. Ressortir mes anciennes partitions, jaunies par le temps, abîmées par les années. Y retrouver toutes les annotations qui avaient bercé mes heures d'apprentissage.
Et la frustation. Tous ces morceaux connus sur le bout des doigts qui me paraissent désormais tellement inatteignables. Les notes malhabiles, les accords ratés, la sensation de tout reprendre de zéro, ou presque... Toutes ces années gâchées par une flemme d'adolescente, quelle pitié...
Et cette dernière partition. Morceau que j'ai volontairement choisi de garder pour la fin. Comme un défi au temps qui passe. Für Elise, Beethoven. Cette douce musique jouée et rejouée, que j'étais un temps capable de lancer les yeux fermés, juste en laissant mes doigts s'occuper de tout. Tatonnements incertains, une fois, deux fois. Des automatismes qui reviennent peu à peu. L'amusement de retrouver des sensations enfouies au fond de moi. Et la passion enfin, qui vient chasser les larmes qui me gagnaient à force de déception. Rejouer, encore et encore. Tout en nuances. Insuffler au morceau toutes les émotions qu'il m'inspire. Me laisser bercer...
Il y a des années, j'ai fait une erreur. Décider de ne plus vivre cette magie, cette petite bulle de paix qui n'appartenait qu'à moi. Alors je vais reprendre. Seule tout d'abord, et puis peut être quelques cours à la rentrée prochaine, pour repartir sur de bonnes bases. Et j'espère retrouver enfin tous ces morceaux que j'adorais, sur lesquels je pouvais passer des heures. Simplement pour retrouver la magie...
jeudi 5 mars 2009
Des délices de la vie en entreprise...
Alors voilà, je repousse, encore et encore, en me disant que non, un échec pour l'armée est impossible. Envisager la défaite, c'est me précipiter dans les méandres d'une réflexion dont je ne sortirai de toute façon qu'insatisfaite. Contrainte de me lancer dans une voie qui n'est pas celle que j'aimerais. Et s'il y a une chose que je ne supporterais pas, c'est bien de choisir une carrière par défaut.
Non, l'échec n'est pas envisageable, moins encore qu'en temps normal. J'ai toujours réussi à atteindre mes objectifs, quels qu'ils soient. Et je ferai tout, absolument tout, pour atteindre celui là.
lundi 2 mars 2009
Coup de coeur
